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Au détour d’une visite du château, on découvre le musée Chinois des salons de l’impératrice Eugénie. Elle y exposait jadis sa collection d’objets d’Extrême Orient. Et c’est tout l’esprit des lumières, cette ouverture au monde, cette curiosité pour les contrées nouvelles et ce que l’on appelait jadis « chinoiserie » qui se dépeint dans ce motif de papier peint magnifique. Il évoque l’attrait de l’époque pour les objets d’Extrême-Orient. Avec style, il vient ponctuer nos intérieurs d’un brin d’orientalisme teinté d’un esprit classique. Le mélange est réussi. On se plait à voyager. Pagode, ombrelle, arbres exotiques au service de véritables